Messieurs
C'est arrivé très tardivement Messieurs.
Et oui.
Le goût de cette chair ne m'a intriguée qu'après avoir appris à connaître mieux l'être en entier.
Pourtant certains se sont acharnés.
On m'a appuyé subtilement sur la tête.
On a fait semblant de se réveiller (et de me réveiller) avec son engin sous mon nez.
On m'a fait des prises de Judo-Kung-Fu-Karaté avec positionnement calculé.
On me l'a demandé.
Plus ou moins clairement:
"Tu veux?"
"je veux quoi?)(*??%(?%"
"S'teuh Plait"
"Hein?"
"I want your mouth"
"What do you mean?&*%*&?$*%??"
"I want your mouth on my dick"
"Oh."
"Suce-moi."
Ensuite j'ai visualisé.
"Ça ne rentrera jamais."
"Je vais m'étouffer".
"Je vais vomir si il touche mes amygdales".
"Je ne saurais pas faire."
J'ai eu très envie de le faire.
Indépendamment du mâle.
Je me suis languie, j'en ai rêvé.
Un soir de psychotropage intense, du genre qui donne confiance en soi, j'ai saisi l'occasion de vous goûter Messieurs.
J'ai commencé par lui présenter ma main.
Il a rencontré mon visage, a embrassé ma bouche.
Puis je me suis appliquée à le dévorer, à le regarder me regarder.
Et j'ai aimé. (Lui aussi paraît-il...;))
Le contact de la douceur de peau.
Le plaisir donné d'une manière particulière, le pouvoir aussi.
L'issue.
Telle virilité dans la bouche m'a rendue si femme.
Et oui.
Le goût de cette chair ne m'a intriguée qu'après avoir appris à connaître mieux l'être en entier.
Pourtant certains se sont acharnés.
On m'a appuyé subtilement sur la tête.
On a fait semblant de se réveiller (et de me réveiller) avec son engin sous mon nez.
On m'a fait des prises de Judo-Kung-Fu-Karaté avec positionnement calculé.
On me l'a demandé.
Plus ou moins clairement:
"Tu veux?"
"je veux quoi?)(*??%(?%"
"S'teuh Plait"
"Hein?"
"I want your mouth"
"What do you mean?&*%*&?$*%??"
"I want your mouth on my dick"
"Oh."
"Suce-moi."
Ensuite j'ai visualisé.
"Ça ne rentrera jamais."
"Je vais m'étouffer".
"Je vais vomir si il touche mes amygdales".
"Je ne saurais pas faire."
J'ai eu très envie de le faire.
Indépendamment du mâle.
Je me suis languie, j'en ai rêvé.
Un soir de psychotropage intense, du genre qui donne confiance en soi, j'ai saisi l'occasion de vous goûter Messieurs.
J'ai commencé par lui présenter ma main.
Il a rencontré mon visage, a embrassé ma bouche.
Puis je me suis appliquée à le dévorer, à le regarder me regarder.
Et j'ai aimé. (Lui aussi paraît-il...;))
Le contact de la douceur de peau.
Le plaisir donné d'une manière particulière, le pouvoir aussi.
L'issue.
Telle virilité dans la bouche m'a rendue si femme.
Ecrit par poup, le Jeudi 11 Septembre 2003, 17:30 dans la rubrique "Des lires".
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Commentaires :
Amusant comme on peut dire les choses différemment mais éprouver les mêmes "sentiments"...
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Poup et Torcida, vous recrutez pour faire des tests ? Je veux bien être cobaye !
Abel
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Ben fallait pas hésiter à l'écrire ce texte finalement! Très intéressant en tout cas.
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Abel
Très joliment dit, tout ca...j'aimerais, mais je crois que je n'oserai jamais écrire le parallèle... :)
Bises (chastes),
Abel